Hier, je discutais de cela avec une amie, au sujet des doutes qui nous assaillent face à l’amour et au pardon de Dieu. Ah, comme c’est facile d’y croire intellectuellement, sans vivre comme si c’était vrai.
Nous confessons notre foi en Jésus tout en vivant comme des athées.
Nous professons l’amour de Dieu tout en le fuyant.
Nous déclarons son pardon tout en nous flagellant pour nos fautes.
Nous affirmons que le Sauveur nous délivre de la prison du péché tout en choisissant d’y demeurer.
Quelle tragédie…
Je crois que la vie chrétienne prend son sens quand on aligne nos comportement avec ce que l’on prétend croire.
Tu dis croire que Jésus t’aime?
Alors vis comme quelqu’un qui se croyait profondément et passionnément aimée par lui.
Tu dis croire que Dieu te pardonne?
Alors vis comme quelqu’un qui se croyait entièrement et complètement pardonnée.
Tu dis croire que Dieu est capable de te délivrer?
Alors vis comme quelqu’un qui se croyait réellement et pleinement libre.
Quand j’ai l’audace d’y croire, ma perspective change pour le mieux. Parce qu’il a dit que c’était vrai pour ceux qui font confiance à ses promesses.
C’est donc vrai pour de vrai pour moi.
Ça peut être vrai pour de vrai pour toi.
Ce texte a été publié pour le première fois le 23 février 2024 sur mon compte Instagram.